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Hollywood et les Indiens
Le réalisateur Neil Diamond, lui-même Indien Cree, donne la parole à des gens de cinéma connus pour leur regard acéré sur l'image et la place des Amérindiens dans le western américain : les cinéastes Clint Eastwood, Zacharias Kunuk et Jim Jarmusch, les acteurs Wes Studi et Graham Greene.
Neil Diamond s’entretient avec Clint Eastwood, rencontré dans ses studios de Burbank en Californie, mais aussi avec le Canadien Robbie Robertson, compositeur et lauréat d’un Native American Music Award, dont la mère est originaire de la tribu des Mohawk. Il parle avec Jim Jarmusch (de son film Dead Man en particulier) et avec de nombreux acteurs d’origine amérindienne, tels que Wes Studi (Le dernier des Mohicans, Geronimo) ou Graham Greene (Danse avec les loups). Deux historiennes et le critique de cinéma canadien Jesse Wente complètent ces témoignages et analysent, à partir d’exemples de tournages, comment s’est peu à peu forgée l’image réductrice de l’Indien rusé, cavalier hors pair assoiffé de sang. Une image en partie corrigée par la génération récente de réalisateurs amérindiens, comme Zacharias Kunuk, l'auteur d'Atanarjuat – La Légende de l'homme rapide, Palme d’or au festival de Cannes 2001.
Disponible du 25/02/2024 au 31/05/2024 sur arte
“ Aujourd'hui plus qu'hier et bien moins que demain „
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#1 Le 07/03/2024, à 11:09 |
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Disponible du 25/02/2024 au 31/05/2024 sur arte “ Aujourd'hui plus qu'hier et bien moins que demain „ |
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L'amour est comme un jardin, il doit se cultiver chaque jour pour donner le meilleur de lui-même
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#2 Le 07/03/2024, à 11:10 |
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L'amour est comme un jardin, il doit se cultiver chaque jour pour donner le meilleur de lui-même |
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