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Lors d’une conversation avec Lionel, mon éditeur, j’ai un jour dit que j’aurais aimé vivre lors de «l’âge d’or de la SF», cette fameuse période des années 50 durant laquelle n’importe quel aspirant auteur pouvait envoyer ses nouvelles aux fameux magazines pulps et se retrouver publié entre Poul Anderson et Frederik Pohl tandis qu’Isaac Asimov passait ses soirées à rigoler avec Lyon Sprague de Camp et Lester del Rey.
La réponse de Lionel fut immédiate:
— Tu es peut-être en train de vivre ce qui, pour les prochaines générations, sera perçu comme un âge d’or.
De retour des caves de Pesmes (voir photo) et de son festival «Si l’imaginaire m’était Comté» où nous avons fêté les 10 ans de la maison d’édition PVH, je repense à cette réponse. Simple. Évidente. Digne de l’historien de formation qu’est Lionel.
Et je ne veux qu’agréer à la chance que j’ai de connaître une forme d’âge d’or. Ou, du moins, de la tentative que nous faisons pour le créer.
La suite du billet par Ploum
“ Aujourd'hui plus qu'hier et bien moins que demain „
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#1 Le 15/06/2024, à 09:16 |
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Ploum a écrit :
La suite du billet par Ploum “ Aujourd'hui plus qu'hier et bien moins que demain „ |
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L'amour est comme un jardin, il doit se cultiver chaque jour pour donner le meilleur de lui-même
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#2 Le 15/06/2024, à 20:51 |
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L'amour est comme un jardin, il doit se cultiver chaque jour pour donner le meilleur de lui-même |
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“ Aujourd'hui plus qu'hier et bien moins que demain „
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#3 Le 16/06/2024, à 22:17 |
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