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La mort de Morgan Keane, tué par un chasseur le 2 décembre, a libéré la parole sur les abus des pratiquants de cette activité meurtrière. Les autrices de cette tribune, amies du jeune homme disparu, racontent leur engagement pour abolir les privilèges d’une petite partie de la population des campagnes.
Les autrices sont cinq amies de Morgan Keane, le jeune homme tué par un chasseur le 2 décembre dernier, alors qu’il coupait du bois à proximité de sa maison. Après la mort de leur ami et à la suite des nombreuses réactions sur les réseaux sociaux, elles ont découvert que les victimes de comportements abusifs liés à la chasse étaient nombreuses. Cela les a poussées à créer « Un jour un chasseur », d’abord sous la forme d’une boîte mél. destinée à recevoir des témoignages de ces abus, puis d’un compte Instagram et d’une page Facebook.
Le 2 décembre dernier, en plein confinement, Morgan Keane était abattu par un chasseur alors qu’il coupait du bois tout près de sa maison. Il avait 25 ans et il aimait la vie, le monde et la nature.
Les réactions ont été immédiates. Sur les réseaux sociaux, dans les médias, la presse ; partout, des témoignages de sympathie, de chagrin, de détresse.
Et partout aussi cette colère, accentuée par la mort tragique de Morgan, mais qui ne date pas d’hier, et de là un constat, indéniable et nécessaire : trop, c’est trop.
La suite de la tribune sur Reporterre
“ Aujourd'hui plus qu'hier et bien moins que demain „
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#1 Le 14/01/2021, à 19:26 |
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La mort de Morgan Keane, tué par un chasseur le 2 décembre, a libéré la parole sur les abus des pratiquants de cette activité meurtrière. Les autrices de cette tribune, amies du jeune homme disparu, racontent leur engagement pour abolir les privilèges d’une petite partie de la population des campagnes. Les autrices sont cinq amies de Morgan Keane, le jeune homme tué par un chasseur le 2 décembre dernier, alors qu’il coupait du bois à proximité de sa maison. Après la mort de leur ami et à la suite des nombreuses réactions sur les réseaux sociaux, elles ont découvert que les victimes de comportements abusifs liés à la chasse étaient nombreuses. Cela les a poussées à créer « Un jour un chasseur », d’abord sous la forme d’une boîte mél. destinée à recevoir des témoignages de ces abus, puis d’un compte Instagram et d’une page Facebook.
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Perso, trop de rage pour dire quelque chose ...
L'amour est comme un jardin, il doit se cultiver chaque jour pour donner le meilleur de lui-même
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#2 Le 15/01/2021, à 09:57 |
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Perso, trop de rage pour dire quelque chose ... L'amour est comme un jardin, il doit se cultiver chaque jour pour donner le meilleur de lui-même |
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“ Aujourd'hui plus qu'hier et bien moins que demain „
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#3 Le 15/01/2021, à 22:05 |
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