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La crise du Covid-19 révèle l'ampleur de l'emprise des GAFAM sur nos vies
Ça n'aura pas échappé à grand-monde: les GAFAM ressortent d'ores et déjà comme les grands gagnants de la crise actuelle. Non que ce soit une surprise absolue, mais en quelques semaines, les tech companies se sont rendues incontournables dans chaque aspect de nos vies confinées: le travail et l'enseignement à distance, la communication avec nos proches, l'accès à l'information et au divertissement, les achats en ligne, la livraison et même les téléconsultations médicales.
Autrement dit, avec leurs produits et leurs services, Google, Apple, Facebook, Amazon et Microsoft –pour ne citer qu'eux– ont encore resserré leur emprise dans tous les compartiments de nos existences. Pas un mince exploit vu comme nous étions déjà sous perfusion du temps où nous pouvions sortir plus d'une heure par jour. C'est désagréable mais nous sommes plus que jamais des otages consentants des entreprises de la Silicon Valley et de leur quincaillerie technologique.
Tech-millionnaires en quête de sauvetage de l'humanité
Beaucoup d'intellectuels brillants l'ont rappelé, les conséquences violentes du Covid-19 entérinent l'échec des États à garantir la sécurité et la santé physique de leurs concitoyens. Dans une tribune intitulée «L'insoutenable légèreté du capitalisme vis-à-vis de notre santé», la sociologue Eva Illouz –invoquant la thèse de Michel Foucault qui plaçait la santé comme la pierre angulaire de la gouvernance étatique moderne– résumait avec une concision remarquable ce qui nous a entraînés dans la dystopie du moment:
«Ce contrat, dans de nombreuses parties du monde, a progressivement été rompu par l'État, qui a changé de vocation en devenant un acteur économique entièrement préoccupé de réduire les coûts du travail, d'autoriser ou encourager la délocalisation de la production (et, entre autres, celle de médicaments clés), de déréguler les activités bancaires et financières et de subvenir aux besoins des entreprises. Le résultat, intentionnel ou non, a été une érosion extraordinaire du secteur public.»
La suite de l'article sur Slate.fr
“ Aujourd'hui plus qu'hier et bien moins que demain „
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#1 Le 16/04/2020, à 09:35 |
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La crise du Covid-19 révèle l'ampleur de l'emprise des GAFAM sur nos vies Loïc Hecht a écrit :
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Affligeant
L'amour est comme un jardin, il doit se cultiver chaque jour pour donner le meilleur de lui-même
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#2 Le 17/04/2020, à 09:04 |
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Affligeant L'amour est comme un jardin, il doit se cultiver chaque jour pour donner le meilleur de lui-même |
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Oui
“ Aujourd'hui plus qu'hier et bien moins que demain „
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#3 Le 17/04/2020, à 09:10 |
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Oui “ Aujourd'hui plus qu'hier et bien moins que demain „ |
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L'amour est comme un jardin, il doit se cultiver chaque jour pour donner le meilleur de lui-même
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#4 Le 17/04/2020, à 09:17 |
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....... L'amour est comme un jardin, il doit se cultiver chaque jour pour donner le meilleur de lui-même |
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