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Devant l’urgence climatique, la finance dite "verte" multiplie les placements éthiques, durables, écologiques et... souvent mystificateurs. Une enquête grinçante dans les rouages d’un système cynique.
Alors que le réchauffement climatique s’accélère et que les catastrophes naturelles se succèdent, scientifiques et militants le clament : il faut changer de modèle de société. Face à ces revendications, le monde de l’économie semble se remettre en question. Le textile s’est lancé dans le durable, l’alimentation, dans le bio. La finance, elle, entend devenir plus verte. Depuis quelques années, la croissance des fonds et placements dits "durables" s’avère exponentielle. L’occasion pour la place bancaire de redorer son blason après la crise financière et les scandales fiscaux à répétition ? Que trouve-t-on réellement sous le vernis de ces produits attractifs et des campagnes de communication ?
Vert opaque
Les auteurs de cette enquête le reconnaissent : ce qu’ils ont découvert en confrontant les acteurs financiers à la réalité de leurs montages les "laisse pantois". De nombreux placements "verts" cachent en fait des opérations de greenwashing (ou écoblanchiment) et la promesse de belles affaires comptables, rendues possibles par l’agressivité d’un marketing versé aux tours de passe-passe. Souvent ironique, voire grinçant, le documentaire pointe des agissements pour le moins contestables. Dans de nombreux fonds "verts" apparaissent des sociétés bien connues, mais pas pour leur engagement durable (Total, Exxon, Shell...). Coqueluche des investisseurs en quête de pedigree écologique, l’entreprise belge de recyclage Umicore a caché dans une forêt des Cévennes des milliers de tonnes de déchets chargés de métaux lourds, occasionnant des cancers chez les animaux et les hommes vivant dans les environs. De son côté, la holding émiratie Majid Al Futtaim vient de lever 1,2 milliard de dollars sur sa promesse de réduire son empreinte carbone. Une somme qui va l’aider à... ouvrir de nouvelles pistes de ski dans le désert. Dénonçant aussi l’opacité des agences de notation ou les combines de la surpuissante Deutsche Bank, ce film démonte les rouages d’un système à la fois opportuniste et cynique, en donnant la parole à des ONG ou à des lanceurs d’alerte.
Disponible jusqu'au 06/07/2022 sur arte
“ Aujourd'hui plus qu'hier et bien moins que demain „
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#1 Le 20/06/2022, à 19:11 |
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Disponible jusqu'au 06/07/2022 sur arte “ Aujourd'hui plus qu'hier et bien moins que demain „ |
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Quelle misère, tout est corrompu .....
L'amour est comme un jardin, il doit se cultiver chaque jour pour donner le meilleur de lui-même
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#2 Le 21/06/2022, à 09:30 |
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Quelle misère, tout est corrompu ..... L'amour est comme un jardin, il doit se cultiver chaque jour pour donner le meilleur de lui-même |
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À chaque fois, il faut se méfier, creuser... C'est usant !
“ Aujourd'hui plus qu'hier et bien moins que demain „
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#3 Le 21/06/2022, à 19:02 |
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À chaque fois, il faut se méfier, creuser... C'est usant ! “ Aujourd'hui plus qu'hier et bien moins que demain „ |
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Oui, usant ....
L'amour est comme un jardin, il doit se cultiver chaque jour pour donner le meilleur de lui-même
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#4 Le 21/06/2022, à 21:24 |
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Oui, usant .... L'amour est comme un jardin, il doit se cultiver chaque jour pour donner le meilleur de lui-même |
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“ Aujourd'hui plus qu'hier et bien moins que demain „
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#5 Le 21/06/2022, à 21:38 |
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